Banc d’essai: Test des enceintes Triangle Theta Signature – L’avis de Ludo

TEST DES ENCEINTES TRIANGLE SIGNATURE THETA

Caractéristiques Techniques des enceintes Triangle Theta :

° Type de charge : Bass Reflex avant
° Puissance admissible : 90 Watts
° Nombre de voies : 2 voies
° Nombre de HP : 2x haut-parleurs
° Réponse en Fréquence : 45 Hz – 20 kHz
° Rendement : 90 dB
° Impédance : 8 Ohms
° Tweeter : x1, TZ2550, semi débafflé, pavillon alu injecté,
° Boomer : x1, membrane papier traité, suspension demi rouleau
° Blindage amagnétique : Non
° Bi-câblage : Oui
° Pointes de découplage : Oui
° Fixation murale : Non
° Dimensions (L x H x P) : 233 x 465 x 372 mm
° Poids : 11,55 Kg

Vu en pénombre des belles Triangle Theta…
Enceintes-Triangle-Theta-8 Enceintes-Triangle-Theta-7Mise en oeuvre et rodage :

Pour une fois, pas de rodage effectué par mes soins. Cela pour la simple raison que « Triangle » propose à ses clients (Sur demande de ces derniers), d’effectuer en chambre spéciale, un rodage en bonne et due forme. C’est une attention que je trouve vraiment bien pensée !! Merci donc à eux, d’avoir fait le travail sur les modèles réceptionnés pour cet essai.

Ressentis sur l’esthétique et la finition :

Le déballage :
Enceintes-Triangle-Theta-6 Enceintes-Triangle-Theta-1Lors de la livraison, je ne vous cache pas mon étonnement, quand le livreur vint me demander de l’aide pour… décharger une palette. Ah oui, effectivement, les deux cartons sont quand-même assez « sympathiques », et une fois descendue cette demi-palette,  je me dis que vu son poids, ça promet des bibliothèques d’un bon gabarit.

Une fois ôtées des protections cartons, nombreuses et de belle épaisseur (comme vous pouvez le voir ci-dessus), la Triangle Theta sortie de son emballage,  je me retrouvai face à une enceinte d’une classe indéniable, d’une finition, d’un rendu à se damner !! Un plaisir visuel très rarement rencontré. Pour moi, cette Triangle Theta est une pure « œuvre d’art » !
Un mode d’emploi, la fiche pour la garantie des 3 ans supplémentaires offert (soit 5ans au total) et une paire de gants sont fournis dans chacune des deux boites.

Le tour du propriétaire :Enceintes-Triangle-Theta-5 Enceintes-Triangle-Theta-15 Le boomer, dédié au médium – bas du spectre, est d’une rigidité exemplaire mais ne me semble pas « lourd ». Ses déplacement devraient donc être rapides et secs sur les basses. Le tweeter semi débafflé est logé au fond d’un magnifique diffuseur, en finition bi-teintes, qui donne une touche supplémentaire au cachet général. Les deux compères possèdent une ogive, qui allie diffusion et  annulation des ondes stationnaires pouvant se former sur les haut-parleurs eux-mêmes.
Avant d’oublier ce détail, le cerclage du haut-parleur, ainsi que celui du diffuseur sont en aluminium. (Pour ma part, vu l’énorme attirance qui se dégage de la Triangle Theta, j’aurai apprécié que les vis ne soient apparentes, ce qui aurait donné un coté encore plus aérien à la face avant.)
Enceintes-Triangle-Theta-14 Enceintes-Triangle-Theta-10 Enceintes-Triangle-Theta-11 Enceintes-Triangle-Theta-12 Enceintes-Triangle-Theta-13Comme vous pourrez vous en rendre compte sur les photos ci-dessus, « Triangle » a vraiment réussi son pari sur sa série « Signature », et propose des enceintes à la finition que j’appellerai « de haute couture ». Pour un prix finalement pas si excessif que ça, une fois remis dans le contexte où tout est fait à la main et dans notre beau pays (ce qui influe directement sur le prix final, la main d’œuvre n’ayant pas du tout le même cout !).

Les concessions tant techniques que sur les matériaux choisis, ne semblent pas avoir eu beaucoup de place lors de leur élaboration, par les ingénieurs de la marque. Je le redis sans aucun parti pris, cette gamme « Signature » est vraiment une œuvre d’art à part entière qui campera fièrement dans votre salon, attirant le regard de toute personne qui croisera leur éclat étincelant.

Les nombreuses couches de vernis, égrenées entre chaque passe, donne une vue qui laisse béat. L’aspect final rend comme un « effet  gloss » ou de «  plaqué verre » qui ne laisse pas indifférent. Le placage bois véritable ressort de toutes ses veines, on suit les dessins de celui-ci sur l’ensemble du coffret, qui se paye même le luxe de jouer avec la luminosité, ce qui donne une profondeur, un contraste changeant aux grès des heures ou de la météo. En un mot comme en mille…. Splendide !

Un dernier détour sur les borniers, puis il sera temps de passer au rendu sonore de ces demoiselles.

Enceintes-Triangle-Theta-2 Enceintes-Triangle-Theta-3Chaque enceinte est équipée d’un double borniers, relié par un pont de bonne qualité, en comparaison à d’autres modèles de la concurrence de prix approchant (que je vous invite cependant à changer pour gagner plusieurs crans en qualité sonore).
Ces borniers acceptent les câbles nus de fortes sections sans sourciller, mais également les terminaisons de type « Banane » et « Fourche ». Attention cependant, si vos câbles HP sont finis par des fourches justement. Certains ne le savent peut-être pas, mais il existe plusieurs tailles « d’ouverture » (distance entre les deux têtes de fourche),  et pour les Triangle Theta, il m’a fallu les plus larges pour que cela passe sans forcer. C’est un détail qui pourrait vous être utile au moment de l’achat de vos câbles.

Le serrage s’effectue sans problème particulier, les doigts enserrent bien les hauts de connecteurs, ce qui n’est pas toujours le cas… Et une fois en appui sur le câble, ils ne bougeront plus. Pas de jeu, de desserrage après 15 jours.

Voilà donc qui termine ce chapitre et nous amène au moment des écoutes à proprement parler.

Aparté avant les écoutes :

Les Triangle Theta ont reposé sur des pieds « Norstone Stylum 3 » (patafixé au sommet), remplis au ¾ par… De la litière pour chat à base de silice (nettement moins chère mais bien mieux  à l’écoute que du sable ou que le quartz d’aquarium). Les dits pieds reposent sur une plaque de granit de 3cm d’épaisseur, qui sont découplés du sol par trois pointes/contre-pointes autocollantes.

Lors du lancement de cette série « Signature », notre fabricant national Triangle avait annoncé la couleur :

« Cette gamme inaugure un tournant dans l’histoire de Triangle, inaugurant une signature sonore nouvelle, et une réalisation/finition faite en France de premier ordre. »

Je ne peux que confirmer la partie esthétique des dires à ce moment précis, et pour avoir testé il y a peu une paire de colonnes de la série « Esprit », j’avais hâte d’entendre comment sonnaient les « Signature » !

Avant toute chose, les « Triangle Theta » demandent une petite attention sur leur positionnement dans votre salon. Elles méritent de s’y attarder tant les prestations de celles-ci sont bonifiées une fois bien placées. Ces bibliothèques ne sont que peu sensibles au mur arrière (l’évent frontal aidant sur ce critère), ni aux murs latéraux d’ailleurs. Pour ma part, j’ai obtenu les meilleurs résultats à une distance de 30cm de celui derrière l’enceinte et 35/40cm de ceux des côtés. Pas besoin de se retrouver avec les matériels au milieu du salon. De plus, comme souvent constaté sur des bibliothèques, la pièce est moins sujette aux ondes stationnaires et rebond de basses. Selon moi, cette moindre influence pièce/enceintes vient du fait que l’évent est positionné assez haut, les encoignures sol/mur sont donc suffisamment éloignées pour ne pas créer les incidences précitées (ou tout du moins bien moins).

LE point sur lequel se pencher plus sérieusement, est celui du « pincement ». Il est assez aisé de se rendre compte que les « Signature », ne donnent leur plein potentiel sur le haut du spectre, sur la spatialisation, sur le point central virtuel qu’une fois bien dirigées. Une fois encore, mon pointeur laser me fut d’un secours appréciable, car plus qu’au mètre ruban ou à l’équerre, il me permet de bien visualiser où le tweeter se dirige exactement sur la place d’écoute. Pour les « Triangle Theta », j’ai fait croiser les aigus juste derrière l’emplacement où se trouve ma tête sur le canapé et honnêtement, c’est une toute autre dimension du médium/aigu et des plans sonores qui arrivèrent à mes oreilles.

Les écoutes des Triangle Siganture Theta:

Les matériels couplés :

Les intégrés stéréo : BC Acoustique EX-362D et Creek Evo 50A MKII.
Les sources : PC Lenovo sur DAC Asus STU (AOP Muse 01) et Blu-Ray Pioneer BDP-170.
Câbles : enceintes, secteur et analogique en JSV Audio. Câbles optique et coaxial Oehlbach. USB Supra.
Barrette : Oehlbach Power Socket 905 sur secteur JSV Audio.

Les albums choisis pour les écoutes:

Album-CD-PPL Album-CD-ThetaComme écrit en début d’article, « Triangle » m’a affranchi de l’étape de rodage (encore merci à eux) et j’ai donc pu directement passer aux choses sérieuses une fois les prises de vue de ces demoiselles effectuées. Les premières secondes d’écoute donnent le ton… Clarté, précision et présence, voilà en quelques mots ce qui me vint à l’esprit directement. C’est comme si un voile s’était envolé en comparaison des « Triangle Antal Esprit EZ » écoutées (volontairement) juste avant. Alors bien sûr, les deux protagonistes ne sont clairement pas de tarif comparable (le prix final, encore une fois, est bel et bien justifiable par le surcout de la main d’œuvre) mais par le passé, il m’est arrivé de ne pas entendre, ne pas sentir plus que cela un delta entre deux gammes d’un même fabricant. Ici, c’est réellement une ‘’autre façon de compter une histoire’’ entre les deux modèles. La hiérarchie est très bien respectée.

L’aigu est vraisemblablement celui qui surprendra, interpellera tant les aficionados que les détracteurs du manufacturier. Car aucun de ces ‘’deux clans’’ ne sauraient s’attendre à ce dont le nouveau tweeter est capable. Le haut du spectre n’a clairement plus grand-chose a voir avec feux son (ses…) ancêtre(s). Les ingénieurs ont totalement revu leur copie avec un tweeter offrant une foule de détails sur le haut du spectre, une luminosité justement couplée à une projection savamment dosée. Avec une douceur (oui, je pèse bien le mot douceur et j’écris toujours bien sur des Triangle.) sur l’extrême aigu sur lequel ne sauraient s’aventurer les cadettes de la marque. En un mot : Bluffant !

Au delà du tweeter lui-même, il y a fort a parier que le filtre apposé à ces demoiselles, joue un rôle tout aussi déterminant. Quant on sait comme le filtrage est important, je ne m’imagine pas « Triangle » faire des économies de bouts de chandelles sur cette série. Ce qui aurait été dommage au demeurant, tant les efforts se ressentent sur le reste de cette enceinte. L’aigu tient donc les promesses faites, c’est déjà ça. Mais les bonnes choses sont loin d’être finies.

La cohésion médium/aigu est exemplaire, c’est encore plus frappant après avoir bien orienté l’enceinte. Je n’ai pas noté de recoupement laissant à désirer, ni de manque sur le bas médium, chose parfois reprochée à Triangle autrefois. Là encore, le filtrage n’y est sûrement pas étranger… Les médiums, justement, font parti des plus jolis entendus à ce jour, particulièrement sur la neutralité et l’impact dont fait preuve le boomer qui officie sur cette partie ‘’charnière’’ (comme j’aime la dénommer) de la bande sonore. Le plus beau, c’est que cette belle preuve de neutralité garde une pointe de suavité qui, sur des interprètes aux voix émotionnelles, prend toute sa dimension. Sur ce médium, comme l’aigu, je ne peux que tirer mon chapeau aux service recherche et développement qui a travaillé sur cette série. Un très beau travail que celui fait messieurs.

Bon, mais sur les basses ??? Comment le bas du spectre est-il retranscrit vous demandez vous ??
Et bien juste avec brio messieurs dames. D’une lisibilité et d’un discernement exemplaires, qui font plaisir à entendre. L’échelle y gagne significativement, et ce n’en est que plus honorable pour « un simple haut-parleur de taille standard». La musicalité de ces basses pourrait dérouter les personnes peu ou pas habituées à une retranscription plus droite qu’à l’accoutumée, tout du moins au début. Car il faut bien avouer que ces basses tendues, sèches et qui vous arrivent rapidement sont d’une classe incontestable. Tout juste noterais-je une descente, une pression plus courte que je n’aurai présagé vu la taille du coffret et de l’équipage mobile. Ce qui n’est aucunement rédhibitoire dans une pièce avoisinant les 20/25m² (c’est simplement qu’on en souhaite toujours plus quand c’est plaisant a écouter !), les bibliothèques se ressentent physiquement sur le grave dont elles sont capables alors ne boudons pas notre plaisir.

Les plans sonores, les placements ne souffrent d’aucun manquement, c’est aisément que l’on visualise les différences d’étagement. Les interprètes sont ‘’campés’’ où ils sont et pas « un mètre » à coté. Le glissé d’une enceinte à l’autre s’effectue sans heurt, pas de perte de niveau ou de détail lors d’un déplacement. L’extinction d’un instrument (par exemple)  sur l’enceinte opposée, voir entre les deux (typiquement l’album de Led’ zep, piste 4) est parfaitement audible, ce qui donne au bout du compte une immersion totale. La hauteur m’est apparue comme ‘’courbée’’, j’entends par là que les sons verticaux ne sont pas seulement au dessus de l’enceinte, mais ‘’en courbe’’ vers l’auditeur. Ces enceintes bâtissent, posent devant, autour de vous, une scène fidèle, qui impliquera ceux qui les possèdent dans l’œuvre en écoute. Encore un bon point, qui complète les précédents.

Une mention particulière pour la tenue à volume soutenu. Aucune partie du spectre ne vient empiéter, ou prendre le dessus sur l’autre. Le rendu reste « plein », ciselé et clair. Pas de tassement ressenti, aucune faiblesse sur les dynamiques ou les attaques. Avec en prime, cet aigu magnifique qui ne brille que par sa partition mordante et non par l’apparition de stridence ou d’acidité. Du bel ouvrage.

Un dernier point qui ne fera que donner aux Triangle Theta une mention à leur diplôme, c’est l’aisance de ces dernières à passer d’un style musical à un autre sans en privilégier aucun. Il est tout a fait possible de changer de monde sans se sentir sur la réserve, quant au rendu retranscrit. Imaginez passer d’un album d’ACDC au dernier opus de Diana Krall (très bon au passage) ou encore celui d’Au pays d’Alice aux titres de Monsieur Cabrel… Des CD aux pressages d’une grande qualité comme ceux d’Accustic Arts à l’album d’Asgeir. Tout ça, en ayant toujours un petit sourire en coin quand les premières notes s’échappent de vos enceintes.  C’est ça, le dernier plus des « Signature » (et sur lequel je n’attendais pas celles-ci, je l’avoue): l’universalité musicale !

Et pour les films??
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Pour une fois, je ne vais trop développer cette partie. En effet, lors de cet essai, je n’avais pas de caisson disponible pour venir épauler les enceintes Triangle Theta dans le bas. La musicalité fit mouche sur la magnifique B.O du film « Walter Mitty », et ne faillit pas sur les dialogues ou le rapport que l’on fait sur le jeu d’acteur (tristesse, colère, tension et autres…)et la sonorité qui s’échappe des enceintes. Procurant une séance cinématographique plaisante, sans manque prononcé ou particulier.

Autant sur un blockbuster comme celui qu’est incontestablement « Pacific Rim », l’aptitude à rendre le bas du spectre avec précision et très naturellement, dessert légèrement le coté rentre dedans,  un peu brut que requiert ce type de film. Alors, bien entendu, les dialogues sont royalement mis en œuvre, le médium aidé par son articulation maitrisé permet de ne pas perdre une miette des échanges verbaux. Et ce, y compris lors des combats titanesque qui passent à l’écran. Bien entendu les musiques sont retranscrites brillamment, ainsi que de nombreux « sons » qui sonnent très réalistes, comme l’eau ou encore le verre brisé …
Mais, il manque du poids sur les basses, de la réponse étendue pour ressentir la taille des robots, ou bêtes infâmes qui enchainent des combats ‘’Godzillesque’’. Cependant, et je n’en doute aucunement, l’apport d’un caisson de basses permettra de rattraper le petit manque précité (en HC plus particulièrement), sans perdre les bienfaits des « Signature » sur le reste des fréquences restituées !

Accessoirement : si votre choix s’oriente vers un caisson (qui sait faire de la musique) et en recoupant bien la fréquence de coupure, son positionnement dans la pièce, cela pourra étendre et bonifier aussi la réponse du bas lors des sessions musicales. Vous y gagnerez ainsi sur les deux tableaux.  Ou vous pouvez tranquillement, vous dirigez vers un des modèles colonne de la série « Signature ». Votre budget, vos besoins, seront les points déterminant (voir peut-être le degré d’acception de votre moitié… Certaines personnes préfèrent des colonnes plutôt « qu’un gros cube » dénaturant le salon…) sur le choix d’équipements.

Bilan de ce test :
J’ai aimé :
– La qualité de fabrication et d’assemblage. La finition est tout simplement éblouissante!
– Le poids rassurant, qui maintient bien l’enceinte sur son pied.
– La musicalité sans faille, la présence vocale.
– La belle amélioration, la tenue, sur le haut du spectre.
– Le grave percutant et très lisible (Bien qu’un chouia court en réponse).
– Le médium détouré et très bien articulé.
– La clarté de l’ensemble quant à la restitution des oeuvres écoutées.
– L’immersion musicale de premier ordre.
– Les plans sonores des plus précis.
– La facilité de placement : Par rapport aux murs arrière et latéraux.
– L’emballage fortement sécurisé, protégeant efficacement les belles Thêta.
– Le vernis de la caisse, ET l’époxy du support de l’aigu, peu sujet aux rayures.
– « J’aimerai » : Tester les colonnes de la série.

J’aurai aimé :
– Des vis haut-parleurs non visibles sur la face avant.
– Une spatialisation moins sujette au pincement des enceintes (Ne pas hésiter à bien orienter ces dernières.). *Une fois bien placées, je tiens à dire que le point central virtuel, ainsi que la spatialisation sont fortement bons et précis.*
– Une petite extension dans le bas grave (Je chipote un peu je l’avoue, mais le prix des enceintes influe sur ce ‘’J’aurai aimé’’).

Quelques conseils ??
– Je vous invite fortement à changer les barrettes fournies, reliant les borniers, pour des « Jumpers » soit réalisés par vos soins, en câble de cuivre (même basique dans un premier temps), soit pour des modèles plus audiophiles vendus chez les spécialistes.
– Après essais de branchements divers, branchez vos françaises par les borniers du haut (ce qui n’était pas le cas sur la photo des Jumpers, branchés avant les écoutes, juste pour les photographies.) donne une meilleure cohérence à l’ensemble.

Ces deux petites attentions amènent un réel plus au rendu des enceintes Triangle Theta.

Voilà qui finalise ce retour d’impression des bibliothèques de la série « Signature » de chez Triangle Acoustique.

Je vous souhaite de longues heures de plaisir musical accompagné de ces « petites » Triangle Theta.

Ludo, Juillet 2015.

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3 Comments

  1. Bonjour,

    Tout d’abord merci pour cet article. D’après vos tests, pourriez-vous dire avec quel ampli se marient le mieux les Triangle Theta ? Merci par avance.

    • Bonjour,
      les amplis chaleureux se marient bien avec les Theta. Voici des exemples:
      En entrée de gamme, les Marantz et Cambridge.
      Dans le milieu de gamme, le classe A de chez BC Acoustique EX362D.
      Dans le haut de gamme, les Accuphase.
      Cdlt, Jonathan.

  2. Bonjour,
    Je partage votre engouement pour la série Signature. J’ai côtoyé les Delta par l’intermédiaire d’un parent, et j’ai franchi le pas en acquérant les Alpha. J’ai dans un premier temps utilisé des jumpers fabriqués avec du Kimber cable, puis j’ai utilisé du bicablage. Ensuite, j’ai changé les bornier par des borniers en cuivre pur OFC. Après une période de rodage, la musique a pris vie.
    Merci pour votre test.
    Bonnes fêtes de fin d’année.
    JFrancois

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